La vidéo c’est comme la bouffe. Nourrir vos audiences à tout prix.
Fast vidéo, snacking vidéo, stories, la vidéo est devenue l’aliment essentiel à notre régime alimentaire, elle nous nourrit, régale, cultive, rassasie. À toute heure, pour tous les goûts, tous les yeux, toutes les bouches, sur les réseaux.
La vidéo est accessible partout, tout le temps, comme la bouffe, du bout des doigts sur notre smartphone : aussitôt cliquée, aussitôt livrée, payée, la voilà arrivée, au pas de notre porte, sans aucun effort. On appelle ça le “content shock”, des contenus disponibles 24/24h, 7/7j, comme ces fast-foods au bout de notre rue. Youtube est devenu le premier lieu de consommation sur mobile et ordinateur.
Ces contenus augmentent chaque jour un peu plus vite restreignant ainsi notre capacité à consommer ces derniers. Mais comme pour la nourriture, tous les repas n’ont pas la même valeur nutritive, émotionnelle ou économique.
Enfilez vos tabliers, on va cuisiner !
Je n’ai pas le temps et peu d’argent.
Les vidéos en amuse-bouche peuvent être produites quand nous n’avons pas le temps, quand il faut sustenter ses convives rapidement.
Rapide, économique, possible grâce aux applications proposant des templates déjà tout prêts, comme un bon plat surgelé, aussi vite consommé que réchauffé et digéré. Les « nutritionnistes éditoriaux » le savent bien : manger vite et mal ce n’est pas bon pour la santé de votre image de marque.
J’ai du temps mais peu d’argent.
Le besoin de se nourrir tous les jours est primordial. Pour les plus aventureux et téméraires, avec un peu de talent nous pouvons, à force de travail et de plaisir, cuisiner soi-même avec un budget correct. Le temps passé, l’investissement, les outils sont les éléments essentiels pour un bon plat. Le tout mélangé à une dose de connaissances et d’idées : c’est un plat « prêt-à-manger » !
J’ai peu de temps mais un budget fixe.
Lorsque le temps manque et que les compétences ne peuvent pas être mises à l’œuvre, on peut faire appel à un spécialiste disposant de techniques culinaires et offrant une palette de saveurs large afin de produire en quantité et rapidement. Cela engage une implication, une deadline, un investissement financier et une idée de départ. C’est se faire plaisir avec une gastronomie simple, efficace et professionnelle. Parce que parfois on manque d’idées et/ou de temps : le freelance ! Mais il n’est pas toujours assuré, ni rassurant, ni créatif, ni aussi bon qu’il le prétend. Encore faut-il être savoir l’évaluer et apprécier sa bande démo…
J’ai tout mais je veux toucher au cœur.
Nul besoin d’être cardiologue, pour réussir cette action sensible. On touche le cœur en transmettant une émotion, avec de simples images et des mots bien choisis. Pour cela on investit dans une équipe de professionnels dédiée à une expérience gustative de qualité en proposant un film qui sort de l’ordinaire qui impacte, qui fait appel aux émotions afin de garder un souvenir impérissable. On veut du grand mais pas tout le temps.
Mon film, fait par qui ?
45 secondes, 1 minute ou 3 minutes, brand-content, film institutionnel, événementiel, film RSE, n’importe quel film peut être fait dans sa propre cuisine. Déterminer qui sera le réalisateur dépendra de l’enjeu : un anniversaire de mariage, une fusion-acquisition, un film RSE, quelque chose qui donne du sens, qui marque, qui émeut les rétines et qui touche le cœur de vos cibles. Le réalisateur, le DA, l’idée, le sound-design, la magie du montage fait par des magiciens et non des monteurs, le choix de chaque mot, de chaque silence… de chaque soupir.
La bonne recette
Le but d’un repas réussi, ce n’est pas seulement son plat, c’est l’expérience que l’on vit. Construite par l’attente, l’arrivée du plat, sa beauté, ses couleurs, ses arômes ; saliver, être surpris, ému, joyeux, prendre du plaisir. Manger et faire à manger c’est partager, vivre et revivre des émotions.
Alors la bonne recette en vidéo, c’est comme en cuisine, la règle est la suivante : varier les plaisirs. Donner à voir, pas trop gras, ni trop sucré, ni trop salé. L’engagement de votre audience est le résultat d’un équilibre. Espacer les repas pour éviter l’indigestion ou l’overdose qui destinerait vos audiences à changer définitivement de cantine.
enviededire a pris un peu de poids pendant les fêtes, occupée à concocter une nouvelle façon de produire, enviedeprod, pour vous aider à faire vivre vos audiences d’émotions et d’images fraîches !